Hâtons-nous pour arrr à Coppet avant que le soleil allonge démesurémentive l’ombre des arbres do parc. Coppet, le château de Jacques Necker et de Mme de Staël. On peut y respirer le parfum de la gloire. Les salons où dansèrent tant de personnages illustres, les lits à baldaquin qui gardent dans les plis de leurs brocarts les songes de tant d’écrivains, de générale: oit de ministres, pouraient conter l’histoire du usts révolutionnaire. Et rien n’a changé depuis ■.t. loups les héritiers de Mme de Staël, Broglie ou I lassonville, ont r: porté la place des meubles cl dé, hibéléis. Benjamin Consituo. Le CHATEA UeleCOPPET Per Mt,’eleneothet af’aideetCS’ord pet épouse M’art tua’alars%;41.ee,n’ travers la prairie philosopher en pais ou contempler leur domaine dans toute Ice›Veregtrell.e,ccheÎlne’refilleed:r-min (8) ont garde leur décor intact ainsi que leur atmosphère d’autrefois.. s’il en franchissait la grille, retrouverait le fauteuil où il aait s’asseoir. L’actuel château juxtapose une tour médiévale, un logis de 1657 et les embellissements apportés successivement en 1767, puis en 1784 par Jacques Necker. Ce dernier « aménagea richement, dit la chronique, les appartements et le décor où devait évoluer en reine d’un empire tout spirituel sa fille Anne-Louise-Germaine de Staël ». Coppet fut alors une sorte de bouillon de culture pour le virus révolutionnaire. Jacques Necker y méditait les plans qui le ramèneraient à Paris, au pouvoir. Les libéraux français y voyaient .„-