t]-rH (1874) (0.,114, use EAU-FORTE DE WILLIAM 1101 VIATTHYS MARIS LA critique d’art actuelle emploie couramment un si grand nombre de vocables laudatifs qu’il est vraiment difficile de trouver les adjectifs adé-quats, lorsqu’il s’agit de définir une personnalité vraiment hors ligne, d’ordre réellement supérieur, dépassant des milliers de peintres plus ou moins méritoires qui forment l’envahissante et étourdis-sante cohue des expositions universelles et autres. Splendeur », a maîtrise », « génie », s’appli-quent si facilement de nos jours, que pour clamer le talent d’un grand peintre il faudrait forger des mots spéciaux. Néanmoins je vais tâcher de situer à son rang un des artistes les plus raffinés et les plus purs de notre temps, le peintre-poète Matths (ou ThVs) Maris, très apprécié en Hollande et en Angleterre, presqu’inconnu en France. En parlant récemment dans cette Revue de Quatre peintres hollandais, M. Heineken disait : e Jacob Maris, qu’il ne faut pas confondre avec ses 266