LA 1■ENAISSANi E DE CANE FRANi;.‘1S Dus !mit s’ilzlEs DE I EXE DÉCOR CHINOIS. — GRISAILLE. — 1,’ERS (APPARTIENT AU COMTE DE LIMUR). peuples que l’immensite (les mers tient séparés de nous, de manière que, sans sortir (le son appartement, et portant la vue autour de lui, un homme studieux, en lisant l’histoire générale des voyages ou les relations des voyageurs qui en ont fourni la matière, se croira en présence des personnages, comparera le texte avec la peinture, s’attachera aux différences de formes, à celles (les costumes, appréciera l’adresse des tins, le goût des autres, suivra les détails du narré avec d’autant plus d’intérêt qu’ils se montreront en relief, si l’on peut emprunter cette expression, et dans tout l’éclat de la fraicheur et de l’assorti-ment des nuances. Une mère de famille donnera, sans s’aper-cevoir d’un peu d’applica-tion, des leçons d’histoire et de géographie à une pe-tite fille, vive, spirituelle et questionneuse dont les re-marques amèneront plus (l’une fois ces sortes d’em-barras qui obligent ;de couvrird’un baiser Babou-che innocente, afin d’en contenir les naïvetés onde lui faire une réponse utile à son éducation. Les vé-gétaux mêmes pourront servir d’introduction à l’histoire