LA MORT DE TRISTAN. (Boia en coulearo) LE TRISTAN & ISEULT DE J. G. DARAGNÈS Daragnès n’est pas de ces artistes qui estiment avoir perdu leur année s’ils n’ont pas exposé leurs oeuvres dans plusieurs Salons, organisé au moins deux exposi-tions, à Paris, de leurs chefs-d’oeuvre, publié des albums et des livres illustrés, et fait savoir à l’univers entier, par le truchement de quelques journalistes, qu’ils’ prépa-rent dans le plus grand secret, et avec une facilité mirdculeuse, quand ce n’est pas avec une difficulté diabolique, une série de gravures et de tableaux dont notre époque aura le droit de se montrer fière. Cet homme extraordinaire ne vient-il pas de publier un livre qui lui a coûté trois années d’efforts ! Et cela, dans un temps où la vitesse, le phono, le cinéma, la T.S.F. et tant d’autres facteurs inutiles à dénombrer, interviennent pour prouver que seuls l’inachevé, l’oeuvre de premier jet sont les manifestations nécessaires et suffisantes de cette fameuse angoisse contemporaine !… Donc, après trois années de travail, Daragnès vient FIND ART DOC