pas un reproche, c’est laconstatation d’un phêno-mime plastique qui, loin de diminua. l’intérêt de cette endance, tout au coutraire le signifie. Nous voyons trop aujourd’hui quelle limitation le gel,- metrisme simpose a lui-mente et pourquoi se fenne a tonte possibibte de renouvellement. »ans son souci de s’affirmer sans équivoqe et ce fut toujours l’un de ses grands mérites, il est allé jusqu’au bout de son engagemen cest-à-di. jus-quà la position estretive. Il est donc voué, lui nussi, à se transformer ou à périr, et Pon ne se Iran.’ orme na, sans concession. Il n’en reste pas moins qu’il a joué, pendant ees dix dernieres an nées, un rôle primordial, rai il fallait indiscuta-blement que cette expérience litt tentée. Elle rêveé des talents certains, produit des œuvres qui resteront et elle constitue une analyse toujours valable du vocabulaire plastique. Justement parce que cette espérience fut grand. serait bicot., abble de s’y maintenir t il faut profiter de sa force et de son …hisser.. tmtur gagner main-enant des horizons nouveaux. Car il seait ab-surde de nier — que co là ou non ter langage de contradicteurs tien préparés à le — existe un risque eertain depoelisation et que, d’ail.nrs, cette attitude extrême en comporte bien d’autres, comme celui l’art no., du.des séchement de l’expression et de l’anéantissement de la vie spirituelle de Pteuvre au profit d’une ap-plication dit style décoratif. Mais il est vrai que ‘et précisément la poésie qui est ici en cause. Elle fausse, parait-il, les véritables données sue quoi devra reposer un art de notre temps et oppose à la Sein., Révélation pure, son mensonge romantique. C’est tin peu vite dit, dans cette confusion totale des valetn,, des moyenset d, la fin on s’égarent avec annutiloquence et vou-draient nous cuir:liner des esprits inconséquents. De terribles rationalistes se manifestent bruyam-ment parmi les artistes, et pour hien nous prou-ver qu’ils sont materialistes et hommes de pro hme. te,ment .couvri, un scientisme périmé depuis plus d’un demi-siecle quils en oublient de s’interroger sur la science. Ce potinai’ n’et, que Orale, cela devient insipide ch encore une fois, menacent pour une certaine forme d’expression artistique. ll y a d’abord la poésie, cst un état. Les ma-nieres de Pesprinter, nous le savons, sont diverses elles com’ernent les mots, les sons, le dessin, la conieur, les formes, notament, et se revivifient sans cesse au contact des techniques et des idées nouvelles. Aussi, détacher l’art de la poésie est-il profondément absurde en soi il ne peut plus, dans ces conditions, y avoir d’art, puisqu’on le prive de ce qui fait sa nature même. Mais cette opération a pour but essentiel de lier l’expérience artistique nealenie aux manifestations de la science, consideree Gamine l’activité la plus Tinguely. Mobile en ent animé électrmouvemiquement. représentative de notre temps. C’est jouer, une fois encore, sur des confusions, fat il ne peut pas s’agir de dresser la sein., contre la ponde. e1 ce ompte-là on pourrait aussi entreprendre d’addi-tionner des litres avee des ment,. Que l’artiste veuille profiter des decmtvertes scientifiques. voila qui parait restes bien légitime et que lieus ap-prouvons d’ailleurs. liais enfin ce Peu encore oujours, que pour faire donc pour traduire une poésie. Qu’il utilise la science la plus récente et que cette utilisation technique lut nonnette de transformer son stnéliqne, et mitan d’en découvrir de nouvelles, sur ce plan-là, nous SOMMeS Men ‘accord, mais la fm de sa ten-tative c’est l’art, la raion de son travail, c’est tanin, ce liest pas lacs cience. Sinon alors, la science proprement dite suf. et l’intervention de l’artiste est inutile. Que cette sculpture tourne dan, l’air grâce à l’électronique, c’est retnarqua-hle, sculpture na pas de valeur, et si son déplacement dans l’espace est sans beauté, que m’importe l’électronique. de prendrai infini-ment plus de plaisir et d’intérêt a contempler un Fernand Léger ou un brannffl, car s’il ne reste que la curiosité scientifique, je puis tout aussi bien, et ovt. mieux, en profiter ailleurs, par exemple dans quelque Palais ln Pécouvertt où je n’aurai d’autre souci que de m’informe, stil’ lu science de mon tipoque. Ce qui Ille pesté FIND ART DOC