TU . En ces pages, premières d’une série d’études sur les oeuvres du feu, telles que les créent nos industries modernes, naos nous reportons à une époque moins éloignée dans le temps que dans nos esprits, C’est à leur feu que 1.113 ‘1,11]ons ranimer la flamme du sou-venir. Les lecteurs suivront certainement notre pensée pour notre ami Jacques Kim, qui avait servi cet art qu’il connaissait parfaitement et affectionnait. Premier ani-mateur de ces annales dia feu, dont nous assumions ensemble et dont j’assumerai dans l’avenir la direction, il s’était voué à défendre chez nous comme eu loin les qualités maîtresses d’une grande industrie nationale. Les continuateurs de cette tradition hantent de jeunes rameaux sur de vieilles souches. Notre but est de faire connaître ce renouveau qui s’épanouit en aspects divers faïences, porcelaines, cristalleries et verreries. Aucune ambiance ne pourrait être plus favorable à notre étude que cette rubrique désormais régulière d’Art et Industrie. Ces deux mots semblent unis pour définir notre programme d’ensemble. Nous serons présents el nous TOUS révélerons les formes les plus valables des terres façonnées au feu, depuis le décor jusqu’aux ornements de la table et aux outils de toutes les techniques laborantines ou gastronomiques. NOUS espérons satisfaire à la fois la curiosité de nos lecteurs et faire apprécier, en toute connaissance du -travail, les progrès d’une technique et d’un art, dont les lettres de noblesse remontent à l’origine méme des SIMONE KAPFERER. FIND ART DOC