éloigné de la’sérénité apollinienne de Lurçat ; il s’apparente, au contraire, au style plus tourmenté de quelques jeunes élèves ou maîtres, tels Lagrange, Vogensky, ou Guignebert qui de « l’après-guerre » ont conservé ces arabesques en coup de sabre, cette plastique explosive, hérissée de dards, dont l’expressionnisme d’André Marchand a laissé le sillage dans la peinture française. L’écueil de Matégot serait peut-être de descendre parfois au-