L’ART DE RECEVOIR Par André de FOUQUITIIES. L’école du M le peul parailre ineeriaine a beaucoup, d’ululant plus que depuis qua-rante ans. le Monde évolue: l’influence exotique n’y est pas et ralagère. L’Art, le ‘Theatre, la Moule, la »anse, le rythme Iran -delà de nos frontières ne sont pas saurs exercer sur DOS contemporains un reel prestige. Il ne : appartient pas aujourd’hui d’en discuter le bien ou le mal. Le a home » français subit lui-meule celte influence. Mais – devons réagir si 110115 lie voulons pas perdre aux yeux du le ce qui fut notre charme et -e élégance. L’art de recevoir:est le propre de la société française, c’est chez elle un atavisme, une tradi-tion. Lu grand u Jure. helas n’ont pas la manière, soit qu’ils l’aient oubliée, soit qu’ils ne l’aient jamais sue. t’est II 11e quest’ de rééducation ou d’enseignement. On ne saurait certes l’aire du le une réunion solennelle. compassée. prélentieuse, une sorte d’académie des formules: il n’en est rien fort heureusement. Les principes une fois acquis, chacun conserve sa personnalité. avec une certaine liberté d’esprit et de bonne hiiineur. t’est le goût qui distingue rame française en toutes choses : le goût, celte mesure entre la licence et la raideur. entre l’immobilité el la (Mie, entre l’immuable règlement et le désordre : c’est une élégance sobre qui n’est surchargée ni de falbalas Id de bijoux : c’est le discernement dans le choix d’un mobilier et l’arrangement d’un intérieur, c’est fa tu m bina bran des Io in krt. s et des choses : c’est la politesse qui n’est Ili 98 Bahut de salon, en palissandre et acajou verni. Draw ng rooin chest of violet ebony and polished leahogany. fée ni hautaine, le goût, en un mot c’est le tri plie du naturel et de la simplicité. Le goût serait perdu. s’il n’était le partage d’une élite qui en conserve les Iradit• rr, mais celle élite se recrute désormais un peu partout. f ;bac II apporte sa piéce a l’édifice, c’est ainsi que s’établit cette école du goût français où viennent se former roules les races.