LA RENAISSANCE DE L’ART FRANÇAIS ET DES INDUSTRIES DE LUXE QUILLIVIC. PRIÈRE DOULOUREUSE. AUX MÈRES ET AUX 11 DE BRETAGNE. JEAN-RENÉ CARRIÈRE. LE DÉPART DU POILU • tant la langue du théâtre. Cette année cela s’ordonnait mieux, avec plus de netteté, et la diversité n’était pas moins grande mais l’attrait était plus vif. On discernait, il faut le reconnaître, un commencement d’orientation dans les jeunes écoles. Certains tempéraments un peu trop fougueux ou mal embarqués semblent avoir jeté leur gourme. Chose curieuse, dans l’excentricité mime • s’établit plus d’équilibre, et l’on peut, sans trop d’illu-sions, dans tant de tâtonnements et d’avortements même, distinguer les promesses d’une vét itable renaissance (ce qui n’est pas pour nous déplaire), quand cette renais-sance ne devrait aboutir qu’à des usages simplement décoratifs. Mais disons tout de suite que si cette tendance déco-rative domine encore largement, il faudrait regarder de façon bien superficielle ou bien prévenue pour ne pas apercevoir aussi les progrès d’une tendance intellec-mille qui pourrait bien un jour soit primer de nouveau 1.1 sri vit tcle matérialiste, soit seulement lutter avec elle à forces égales, cse qui serait déjà•considérable. Ce ne sera pas faillir à l’actualité que de reprendre un peu les choses de plus haut. Quel était l’état de l’art, • ■ —‘■■• ,